Le petit dej à l’hôtel est offert et meilleur que ceux des hôtels précédents. Nous faisons ensuite notre check-out en laissant nos gros sacs à l’hôtel et en leur demandant de nous réserver un taxi pour l’aéroport le soir même. On s’habitue très vite à être assistés

On se décide ensuite d’aller au marché “touristique” pour faire nos emplètes (il reste plein de place dans les sacs ). On comptait prendre un tuk tuk mais ils nous saoulent tellement en même pas 10min qu’on finit par y aller à pieds. On a le temps, ce n’est pas excessivement loin….par contre il est presque midi… pas d’ombre…

On finit par attendre le marché et on commence nos achats. On en prend une bonne partie au même endroit, la vendeuse est sympa et c’est partout pareil de toute manière. On est tous les deux très mauvais en négociation et on n’aime pas ca donc on payera tout ou presque au prix touriste.

Ah et ici, même si on échappe aux “Hello, tuk tuk?” on a droit aux “Can I help you siiir?” pour Simon et “Hi sister” pour Mae (a priori elle est pote avec toutes les vendeuses, à les croire).
Les produits ne sont pas chers mais on s’emballe un peu quand même…

Au bout de 2h on surchauffe et on est un peu déshydratés donc on sort du marché et on se réfugie dans un café (a priori canadien) pas loin. On grignotte un bout et on reste un peu avant de faire un dernier passage rapide au marché.

A partir de là, on se balade, globalement en direction de l’hôtel. On s’arretera boire au café d’un hôtel. Ca nous prendra une éternité pour avoir à boire et la glace de Simon n’arrivera jamais. Mais ce n’est pas plus mal vu qu’un des serveurs est malade et se lave pas les mains..

On retourne prendre un verre au café à coté de l’hôtel en attendant notre taxi… Il y a beaucoup de traffic mais on a pas mal d’avance. On regarde dehors et on profite un max avant de dire au revoir au Cambodge..

Le bus est luxueux comparé aux précédents: de la place pour les jambes, de quoi ranger des affaires, clim, wifi, et même une ‘hôtesse de bus’ qui nous distribue de l’eau et des madeleines au départ. On voyage entre LA ville touristique et la capitale donc ce coup-ci on a une belle route tout le long.

On fera 3 arrêts: un de 10min, un de 30 min pour le repas et un dernier de 20min.
Le repas est dans l’équivalent d’un restaurant d’autoroute, à mi-chemin entre les deux villes. Ils ont l’air de faire tous les bus de cette compagnie. Le service est méga rapide mais Simon sera un peu barbouillé après ce repas. Au final il aura une petite intoxication alimentaire. Il n’a pas eu de chance car nous avons pris le même plat et Mae n’a rien eu.

On a eu pendant le repas la visite d’un chaton qui aimait beaucoup le sac de Simon!

On arrive à Phnom Penh vers 16h et on se repose. Une fois de plus, on est surpris de voir que nous avons un hôtel assez classe, vu que nous ne l’avons pas payé tres cher. Ce coup-ci nous avons droit aux cygnes, après les crabes/space invaders!

On ressort pour diner et on choisit un resto indien qui est prêt de l’hôtel. On se dit qu’apres deux semaines a manger local ce n’est pas bien grave). On sera punis: même en demandant la version peu épicée le plat de Mae est beaucoup trop épicé et on finira par échanger nos plats. Le peu qu’elle a mangé lui causera d’être pas bien toute la nuit et le matin suivant. La nourriture épicée c’est fini!

Premier temple: Pre Rup

Ce qui est agréable aussi, c’est qu’il y a quasiment personne! A priori ce temple est plutôt prisé pour le coucher du soleil.

De la on part pour Banteay Srei, qui est plus loin du site d’Angkor. C’est un petit temple mais dont les gravures sont très fines et magnifiques. Il a été restauré parmi les premiers (début des restaurations par les français avant l’indépendance). Les gravures sont dites trop fines pour la main d’un homme ce qui fait que ce temple est associé aux femmes.

Pas loin de ce temple, sur le chemin du retour, se trouve une ferme aux papillons.
Le chauffeur de tuk tuk nous avait montré le musée sur les mines anti-personnel mais on a évité …
Grace au guide écrit en anglais et cambodgien on arrive a expliqué a notre chauffeur que l’on veut aller la-bas. D’ailleurs, on pense qu’il ne connaissait pas parce qu’on l’a vu faire un tour rapide pendant notre visite
On a droit a une visite de la ‘ferme’ avec les explications sur l’origine du centre et les méthodes utilisées. L’idée étant de supporter la communauté locale en leur expliquant comment ‘cultiver’ les papillons et on rachetant les cocons. Ils veulent aussi protéger les habitats naturels et informer les locaux a ce sujet.
Leurs papillons sont immenses! Et il y a aussi des fleurs magnifiques.

On retourne sur le circuit du “grand tour” des temples d’Angkor avec comme prochaine étape East Mebon.

 

Ta Som

Preah Khan

Neak Pean (entouré par une immense étendue d’eau)

On a chaud, faim, on est trempés de sueur et comme on a fait les temples qui nous intéressaient, on décide de rentrer (il est autour de 14h). On ressort vers 15h pour manger dans un petit resto a coté en réalisant qu’on n’osait pas tenter ce genre d’endroits a notre arrivée alors qu’il n’y a aucun soucis.

On se repose jusqu’a notre départ pour le cirque Phare: https://pharecircus.org/

Le cirque a été créé pour donner une formation et du travail a des enfants en difficulté. L’association leur propose d’apprendre le cirque, le dessin, la musique, etc. Du coup le spectacle mélange un peu tout: acrobaties, théâtre, musique et peintures en direct. C’est inspiré de la vie des fondateurs du cirque, et nous a vraiment remué, surtout la partie sur les Khmer rouges. Les prestations étaient vraiment impressionnantes!

Dur dur de retrouver notre tuk tuk dans la masse, tout en évitant les tuk tuk non réservés qui, comme d’habitude, ne comprennent pas le sens du mot “non”.

On nous a conseillé de faire ce qu’ils appellent le “petit tour” aujourd’hui. Cela regroupe 3 structures relativement proches géographiquement mais aussi les plus visitées et les plus impressionnantes: Angkor Wat, Ta Prohm et Angkor Thom (qui regroupe 4 temples dont Bayon, le plus impressionnant).

De manière générale, a chaque temple il y a beaucoup de vendeurs (de tout.. peintures, vêtements, fruits) et des gamins qui vendent des bricoles ou qui mendient. C’est le seul endroit au Cambodge ou on a vu ça, mais en même temps le site d’Angkor c’est 2 millions de visiteurs par an…

Premier arrêt du tuk tuk a Angkor Wat, le plus grand des temples (et dont la restauration est la plus avancée).

Le guide est incroyable, il a une connaissance extraordinaire des légendes et des dieux Hindu (Il a l’air assez croyant). Il nous explique ce que représente chaque bas relief, et on a du passer une heure entière sur celui qui entoure Angkor Wat, et représente plusieurs histoires: création du monde, batailles entre familles rivales, paradis et enfer…

Ce temple est très touristique, du coup pour aller sur les plus hauts points de vue… Il y a la queue…

On reprend notre tuk tuk qui nous amène au deuxième temple de la visite: Ta Prohm, aussi appelé par/pour les touristes temple “Tomb raider”, parce que le film a été tourné en partie ici. Bon, c’est un peu moins impressionnant en vrai :p
Il est connu pour sa végétation qui a poussée entre les pierres et donne un résultat vraiment magnifique:

A la fin de cette visite, il est environ midi et notre guide est complètement crevé. On nous dépose devant un restaurant ou nous sommes immédiatement pris en charge par 5(!) personnes, et dirigés directement vers la partie climatisée du restaurant. Les 5 personnes restent derrière nous, alors qu’on a un menu de plusieurs pages a lire avant de pouvoir commander.. On voit que le resto est plutôt dimensionné pour les cars de touristes chinois. Les plats sont très chers pour le pays (7$ pour un plat, 3$ pour une boisson). Au final on aura bien rigolé de l’accueil et du coté super touristique, même si la nourriture n’avais trop de gout pour Simon (plat de nouilles au poulet), et trop pour Mae (poulet au gingembre avec beaucoup beaucoup de gingembre).

Une fois le repas terminé, on recherche notre guide qui a terminé une sieste, les batteries rechargées.

La dernière visite de la journée est un complexe appelé Angkor Thom, qui regroupait un palais royal (en bois donc complètement disparu), et 4 temples, entre autres.

On commence par la partie palais. La encore, on a droit aux histoires autour de ce lieux, c’est très intéressant.
On finit par le plus impressionnant: Bayon. Il y a beaucoup de monde et notre guide, énervé par un touriste et pressé de rentrer, trace et nous on lui court derrière. C’est un peu dommage mais en même temps on a, nous aussi, marre de la foule.

 

C’est la fin de cette première journée a Angkor, on discute pas mal avec le guide et on arrive vers l’hôtel vers 16h. On se refroidit et repose un peu et on décide du programme du lendemain, sachant que l’on était alors persuadé d’avoir un jour de plus a Siem Reap (c’est le problème des vacances, on ne sait plus quel jour on est!).
On demande a la réception de nous réserver un tuk tuk pour faire les 3 autres temples conseillés par le guide, dont un un peu loin du site d’Angkor. Au final cela correspond a une partie du “Grand tour” + un extra pour le temple un peu loin. On réserve aussi le cirque dont nous avait parlé le manager.

On décide de viser un autre quartier pour manger et au final on choisi un resto dans un hôtel un peu par dépit. On sera déçus. On évitera complètement les hôtels a présent pour privilégier les petits resto, meilleurs et moins chers.

En arrivant du bus on va dans notre nouvel hôtel, bien classe tout en étant le moins cher de tout notre séjour!

On a bien discuté avec le manager, qui est italien et as beaucoup voyagé en asie. Il nous a conseillé plusieurs choses a voir, incluant un cirque apparemment très renommé, et d’aller a la pâtisserie française a coté après 17h parce qu’ils font -50% sur les gâteaux…

On prends un petit déjeuner pas très bon, on donne notre lessive a faire a la réception et on en profite pour réserver un tuk tuk et un guide pour visiter Angkor le lendemain. Ensuite nous allons visiter un ensemble d’ateliers, les “Artisans d’Angkor” qui sont un programme social d’éducation par l’artisanat, apparemment financé principalement par la France et l’UE (tout est traduit en Français). C’est bien fait, un guide gratuit nous présente les différents ateliers.

Le Cambodge a beau être peu cher, la fin de la visite a la boutique nous a fait réaliser qu’on est pas assez riches pour être le public visé… Les statuettes sont toutes a plus de 100$.
On réserve un tour gratuit vers un ferme de vers a soie, et en attendant on va manger. On prends le premier restaurant du coin. Vraiment pas cher, et très bon. On aura du mal a trouver mieux par la suite.

Un bus nous amène a la ferme ou ils fabriquent la soie et la tissent.

On nous explique les différentes étapes de la vie (et la mort :/) du ver a soie: “conception”, ou partouze générale a gauche, suivi de la ponte, nourrissage des larves au centre et ébouillantage des vers a droite. La soie cambodgienne est jaune naturellement et non blanche, du fait du climat et de la végétation.

Ils se sont tapé un délire pour le musée

Apres la visite, on attrape un tuk tuk pour aller acheter les tickets pour Angkor, vendus pour un jour ou 3 (ou plus). On prend 3, en se disant qu’un jour ne suffit pas pour ce site.

On va ensuite voir un grand marché, plus pour les locaux celui-la (Simon a l’air d’adorer les marchés même s’il n’a toujours pas trouvé de gadgets)

Fatigués mais pas inspiré par la nourriture de l’hôtel, on finit par tomber sur un petit resto “Khmer grill” un peu moderne et avec un serveur super sympa.
Simon a, sur un accès de folie, commandé un plat avec des fourmis rouges…

On a re-croisé un couple de français qu’on avait déjà vu sur le ferry vers les iles. Tout le monde fait le même trajet

En vrai ça faisait plutôt dortoir, mais au moins on avait des vrais lits! La porte des toilettes a vibré une bonne partie de la nuit, les boules quies étaient indispensables.

On apprends qu’a cause de la météo le ferry passera de l’autre côté de la loooongue plage. Au moment de partir, vers 11h, le patron nous propose de nous emmener en barque de l’autre côté, si on a pas ‘peur des grosses vagues’ avec un petit sourire. Comme on est naïfs et qu’on a pas réfléchis, on a dit oui. Maintenant on sait que quand ils ont ce petit sourire il faut dire non!
Nos sacs sont mis dans des gros sacs poubelle, on a des gilets de sauvetage et c’est parti! En 2 vagues  on est trempés, et a 50 m de la plage le moteur lâche (et la corde se casse a force d’essayer de relancer le moteur)… Les deux cambodgiens parviennent à ramener la barque vers la plage et l’un d’eux part chercher un autre moteur. Là, si on était pas idiots, on aurait dû décider de marcher à la place. Mae était sceptique sur l’idée du bateau, Simon, enthousiaste, dit OK trop rapidement, on verra bien…
Au final le deuxième moteur finit par démarrer, les vagues sont encore plus grosses, on est trempé jusqu’à la moelle et on arrive sur l’autre quai dans un état lamentable.

Étant sur une plage, le café/resort du coin à des douches publiques et on tente tant bien que mal de se changer ou au moins de rincer les vêtements pour enlever le sel, car ce soir point d’hôtel mais bus de nuit.

Personne ne sait trop quand et où le ferry va passer mais on finit par l’avoir (le bureau de la compagnie fait aussi salon de massage et blanchisserie, mais il est vide pour le moment). Au bout d’une minute un des gars distribue des sacs plastiques à qui n’apprécie pas les vagues…! Mais on arrive à Sihanoukville sans soucis, juste un peu secoués.

La ville ne fait pas rêver du tout, mais on se trouve un petit café/resto sympa, qui fait de la cuisine locale et de la cuisine italienne Serveuse très sympathique, on a droit a de la tapenade et une mini brushetta offertes en amuse bouche. Assez improbable ici.
La nourriture est excellente et Simon se fait plaisir avec une glace liégeoise.

Amok au poulet pour Mae – bien présenté, excellent et a moins de 3€

On se cale ensuite dans le café ou on avait attendu le ferry quelques jours plus tôt, que l’on sait être au frais et qui a le wifi, on a des articles de retard avec ces jours sans wifi

Les gros sacs a dos déposés chez la compagnie du bus de nuit et l’horaire et lieu confirmés, on retourne se balader vers la plage, dans un marché. Une vendeuse nous dit qu’ils doivent partir bientot, trouver un autre lieu pour le marché car les chinois achète tous les emplacements et le gouvernement prend l’argent et ne fait rien pour les cambodgiens. C’est un vrai problème surtout au sud du pays.

Repas léger et on se prépare pour le bus de nuit.

Dans l’aprem, on va de l’autre coté de l’île avec l’idée de faire du snorkeling (palmes/masque/tuba) pour observer des poissons. La plage de l’autre coté de l’Île est beaucoup plus propre, et moins venteuse.

On nage un peu, Simon voit un poisson perroquet, un gros oursin, Mae une murène, et pleins de petits poissons d’aquarium exotiques de toutes tailles.

Mais le masque de Mae fuit, ce qui fait qu’on fait un échange. En remontant a la surface le masque plein d’eau, Simon se fait une entaille a la main sur un rocher coupant (2e entaille de la journée…comme quoi même sans écureuil on n’est pas a l’abri du danger..! )

Retour sur la berge, nettoyage de la plaie a l’eau de bouteille, désinfection avec du gel hydroalcoolique pour les mains (on a pas pris notre petite trousse de secours), et on retourne au resort récupérer un pansement pour ne pas en mettre de partout et finaliser le nettoyage. Simon est dépité, on aurait pu nager encore longtemps…

Retour au crépuscule, on s’arrête en chemin a l’Octopussy bar pour se réconforter devant des bons cocktails!

Sur le retour au resort, un gars nous fait la pub pour son resto/barbeuc sur la plage, et et on se laisse tenter: c’est super bon et en prime on a un labrador chiot trop mignon a nos pieds

 Du coup on a rien a faire, et il fait tellement chaud entre 10h et 15h qu’on se repose, dans le hamac, dans le lit, … Ça fait tellement du bien de ne rien faire….

La première chose qui nous a surpris, c’est le bruit!!!
C’est un bruit très strident, hyper désagréable, a rendre fou. On suppose que ce sont les cigales locales ou quelque chose dans le genre… Il y a aussi un autre bruit d’insecte, qui ressemble a un bruit de scie électrique. Regardez sur l’ordinateur avec le son!

Malheureusement, après 40min de marche on se rend compte qu’on arrivera pas a atteindre le phare et a revenir avant la nuit tombée donc on rebrousse chemin, on retentera demain.
On mange au resort, puis on se prend un petit cocktail (oui, encore, mais on a que ça a faire :D)

On est surpris par le vent, très fort, qui fait plier les arbres. Apparemment ça dure quelques jours et puis ça se calme, en attendant ça nous rafraîchit!

Le ‘resort’ (ensemble de bungalows + resto) est juste a coté et on est servi par deux français (saisonniers ou plutôt en voyage a travers le monde). Vous pouvez voir sa localisation ici (Cita resort)
On est tous les deux assez surpris par le ‘bungalow’: Simon a fait la résa et il n’avait pas regardé les photos, juste les commentaires. C’est mignon mais très rudimentaire…la salle de bain est a l’air libre (ou comment se faire piquer les fesses en allant aux toilettes..), la chambre est ouverte mais heureusement on a une moustiquaire de lit qui nous protège aussi des autres insectes, feuilles, crottes de (gros) geckos..). Pas de clim mais un ventilo et beaucoup de vent.

 En haut, on a le lit et c’est a peu près tout:

Le ‘toit’ est ouvert:

On apprécie beaucoup les hamacs pour se reposer pendant les heures chaudes, a l’ombre et au frais grâce au vent. Il n’y a pas forcément beaucoup de choses a faire donc on en profite pour se bouquiner, on en a grandement besoin.

On a beaucoup de chance, la plage au niveau de notre resort est propre (grâce au ponton du ferry) et chaude, tandis que les plages plus loin sont rapidement couvertes de détritus (ramassés plusieurs fois par jour par les employés des autres resorts). C’est la première fissure dans notre conception de la plage paradisiaque tel qu’on se la représente.

Notre resort est réputé pour sa cuisine italienne (true story…) et on tente une pizza. C’est très bizarre d’être au bord de la plage en Asie et de manger une pizza italienne… Mais effectivement elle est vraiment bonne! Le pizzaiolo est européen en fait…

On se repose: hamac, natation (Il n’y a absolument personne qui se baigne, c’est vraiment étrange).

Le soir, après un cocktail, on tente un autre resort, qui a l’air un peu plus couleur locale (tous des cambodgiens, et étals plus bricolé) et on mange un barbecue (fruits de mer pour Simon, poulet de terre pour Mae ) et on mange sous le regard plein d’espoir de jeunes chiens (type labrador) qui maitrise très bien le regard de chien battu, sans succès.
Au moment de partir, on ne sait pas qui payer, on a l’impression d’être au milieu d’une famille qui fait un barbeuk. On commence a se lever pour voir qui réagit! Et c’est toujours surprenant de voir les prix, même sur une île touristique deux repas et boissons nous coûte le prix d’un plat a Cambridge…

Première nuit dans la chambre, on met un peu de temps a optimiser la moustiquaire donc on aura quelques piqûres mais malgré les bruits et la chaleur on fini par dormir…